La Maison de Claudine

Flammarion Audio · Lesari: Colette og Anny Duperey
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Um þessa hljóðbók

Sélection parmi le recueil de nouvelles « La Maison de Claudine » paru en 1922, le CD ouvre sur « Ma mère et les bêtes » lu par Colette elle-même en 1947. Sa voix aux couleurs de sa terre et ses voluptueux r roulés ensoleillent les oreilles. Puis la chaleureuse Anny Duperey prend sa suite avec panache pour nous lire comme autant de contes « La Petite », « La Noce », « Où sont les enfants ? », « Maternité », « Le Rire » et « La Noisette creuse ». « Que tout était féerique et simple, parmi cette faune de la maison natale... Vous ne pensiez pas qu’un chat mangeât des fraises? Mais je sais bien, pour l’avoir vu tant de fois, que ce Satan noir, Babou, interminable et sinueux comme une anguille, choisissait en gourmet, dans le potager de Mme Pomié, les plus mûres des “caprons blancs” et des “belles-de-juin”. C’est le même qui respirait, poétique, absorbé, des violettes épanouies. » C.

Um höfundinn

Colette est née en 1873 aux confins de la Bourgogne et du Morvan. À 20 ans, à Paris, elle épouse Willy, un journaliste mondain, qui la pousse à écrire, et signe de son pseudonyme la série des quatre « Claudine ». Elle divorce et se remariera deux fois. Exploratrice passionnée de la vie, elle est tour à tour danseuse de music-hall, mime, actrice, puis pendant la guerre, journaliste. Elle est l’autrice d’une oeuvre aussi considérable qu’originale. Elle écrit jusqu’à la fin de sa vie, en 1954.

Anny Duperey débute dans le théâtre et tourne son premier film, « Deux ou trois choses que je sais d’elle » de Jean-Luc Godard, en 1967. Populaire et solaire, elle s’illustre dans des comédies à succès : « Bye bye, Barbara » (1969), « Les Malheurs d’Alfred » (1972), « Un éléphant, ça trompe énormément » (1976), second rôle pour lequel elle est nommée pour le César de la meilleure actrice. En 2003, elle succède à Fanny Ardant pour incarner sur les planches le monstre sacré Sarah Bernhardt dans « Sarah » de John Murrell. Également écrivaine, elle compose des récits autobiographiques poignants, dont « Le Voile noir » (Le Seuil, 1992), qui touche un large public, ainsi que des romans, tels que « L’Admiroir » (Le Seuil, 1976) et « Le Nez de Mazarin » (Le Seuil, 1995).

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