Le prince de Galles voulait faire d’elle sa maîtresse ? Fort bien. De toute façon, Maria n’avait pas le choix. Jack St. Lawrence, l’homme de main du prince chargé de la surveiller en permanence, ne la laisserait jamais s’échapper, et, tôt ou tard, elle le savait, il lui faudrait céder au caprice royal. Elle rejoindrait donc le prince dans quinze jours, comme on l’exigeait d’elle. Mais, avant cela, elle était bien décidée à profiter de ses deux dernières semaines de liberté pour s’accorder des plaisirs qui ne seraient qu’à elle, et réaliser les désirs qui lui étaient vraiment chers. Et depuis qu’elle avait croisé le regard de Jack St. Lawrence, elle ne désirait rien tant que sentir ses mains sur sa peau nue et vibrer de plaisir sous ses caresses...