C'est pourtant lui qui finance Molière, car ce dernier sait poser des drames qui fonctionnent sans faire trop de bruit. Même si Dom Juan n'échappera pas à la censure. Il n'échappera pas aux professeurs de Lettres, qui contribueront à diluer et discipliner le message hédoniste de Molière.
Cette lecture est une invite à lire Dom Juan comme une bombe philosophique à retardement : rien ni personne n'est épargné. Heureusement, c'est une comédie.
O.S.V