Les financiers sont devenus les maîtres du monde. Ils font croire, à l'aide de théories économiques, que l'épargne donc la financiarisation est indispensable et que la circulation des capitaux financiers favorise la croissance de l'économie mondiale. L'auteur démontre que l'épargne n'est pas une nécessité absolue et propose une réforme de ces systèmes afin d'articuler systèmes bancaires nationaux et système monétaire et financier international.