La guerre de Catherine

Ecole des Loisirs
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Rachel Cohen s’appelle dÃĐsormais Catherine Colin. Elle doit oublier son ancien nom et celui de ses parents. Mais aussi sa vie d’avant, quand il n’y avait pas la guerre et que les Juifs ne devaient pas se cacher. Et puis il faut partir. Dans sa fuite, Catherine emporte son Rolleiflex et des films. Pour tenir, pour rÃĐsister, elle fait des photos. ÂŦ Je sors mon appareil et prends une photo d’HÃĐlÃĻne, au moment oÃđ elle me fait un signe de main. Je devine que j’ai saisi chez ma compagne de route un mouvement infime, entre tristesse pesante et force que donne la nÃĐcessitÃĐ d’agir. Ce simple geste de femme qui soulÃĻve sa valise est la premiÃĻre image qui me restera de mon long pÃĐriple dans la guerre. Âŧ Julia Billet à propos de son livre : ÂŦ Cette histoire s’inspire donc de faits du rÃĐel, de personnages ayant existÃĐ et à qui je souhaite rendre hommage. [...] mais La Guerre de Catherine reste avant tout un roman, un roman qui s’inscrit dans une pÃĐriode de l’histoire et vient rappeler que, mÊme quand les loups hurlent à la mort, des femmes et des hommes savent rester fidÃĻles à leur humanitÃĐ. Âŧ La Guerre de Catherine a ÃĐtÃĐ adaptÃĐ en BD chez Rue de SÃĻvres.

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Julia Billet est nÃĐe en 1962. Elle habite la rÃĐgion parisienne tout en songeant qu'il ferait bon vivre ailleurs, loin des villes, pour ÃĐcrire, ÃĐcrire, ÃĐcrire... prendre le temps de savourer la vie. En attendant, elle ÃĐcrit souvent la nuit aprÃĻs son travail de jour : son activitÃĐ de formation pour adultes l'amÃĻne à rencontrer toutes sortes de gens dans des usines, des bureaux, des ÃĐcoles, des prisons. Elle anime quelquefois des ateliers d'ÃĐcriture avec des adultes ou des enfants. Dans sa vie, enfin, il y a les livres, ceux qu'elle dÃĐvore ou dÃĐguste lentement selon les jours et ceux que Kanelle, sa fille, lui conseille. Parfois, toutes les deux ÃĐcrivent à deux mains, lisent à deux voix et rient aux ÃĐclats.

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