J’ai vécu égoïstement. J’aimais qui j’étais. Merde, je m’aimais. Les femmes se jetaient dans mes bras et je prenais ce qu’elles avaient à m’offrir sans aucun remords. J’ai croqué la vie à pleines dents, m’accrochant à cette pute comme si tout en dépendait. Le temps passait. Les femmes allaient et venaient. À la seconde où j’ai baissé ma garde et me suis libéré du contrôle que j’avais sur ma vie… Quelle a été ma récompense pour une telle négligence ? Un amour si spectaculaire et déchirant qu’il m’a déconcerté. Quand il était trop tard pour m’échapper, mes plus grandes peurs sont devenues réalité. Voici mon histoire. Ma chute. Mon salut.