Le Cid

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BnF collection ebooks - "DON DIEGUE : O rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?"BnF collection ebooks a pour vocation de faire découvrir en version numérique des textes classiques essentiels dans leur édition la plus remarquable, des perles méconnues de la littérature ou des auteurs souvent injustement oubliés. Tous les genres y sont représentés : morceaux choisis de la littérature, y compris romans policiers, romans noirs mais aussi livres d’histoire, récits de voyage, portraits et mémoires ou sélections pour la jeunesse.

Par autoru

1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650). Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660). Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française.)

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