« Un avancement merveilleux pour mon âge, mes talents, la position de mon père dans le monde, m’a-t-il jamais donné d’autre sentiment que cet étonnement sans plaisir : “ N’est-ce que ça ? ” Il est temps de se réveiller. Qu’ai-je besoin de fortune ? Un dîner de cinq francs et un cheval ne suffisent-ils pas, et au-delà ? Tout le reste est bien plus souvent corvée que plaisir, à présent surtout que je pourrai dire : “ Je ne méprise pas ce que je ne connais point, comme un sot philosophe à la Jean-Jacques. Succès du monde, sourires, serrements de mains des députés campagnards ou des sous-préfets en congé, bienveillance grossière dans tous les regards d’un salon, je vous ai goûtés !... ” »
Ilukirjandus ja kirjandus