Cameron Galloway est un boss imbuvable, et ce n’est pas Jeanne Richmond qui dira le contraire !
Pourtant, le jour où Cameron a besoin d’elle pour honorer un contrat aussi juteux qu’inavouable, la jeune femme se retrouve coincée. Envoyer promener Cameron est très tentant, mais elle a cruellement besoin d’argent. Et accepter serait peut-être la meilleure chose que Jeanne pourrait faire… enfin, si elle arrive à supporter Cameron sans se laisser troubler !
***
– Vous pourriez peut-être m’expliquer ce qui vous passe par la tête à m’embrasser et à m’affubler de petits mots doux complètement idiots.
– Vous n’aimez pas ?
– Non !
– Pourtant c’est bien ce style de petits surnoms que donne un homme à celle qu’il aime, non ?
– Peut-être bien que oui, après tout je n’en sais rien.
– Vous n’avez jamais eu de petit ami ? je m’étonne.
– Bien sûr que si, mais pas de ceux qui balancent des « je t’aime » à leur petite chérie. Et je vous signale que vous n’avez pas à le faire non plus. Vous n’êtes pas mon petit ami et vous n’avez pas de sentiment pour moi. Je pourrais même aller plus loin, vous ne m’appréciez même pas. D’où ma première question. À quoi vous jouez ?
– Je ne joue pas… J’ai… J’ai besoin de vous.
Et putain, cet aveu est vraiment difficile à lui balancer. Je n’ai jamais eu besoin de personne. Encore moins d’une fille qui ne doit pas peser beaucoup plus que cinquante kilos. Elle est menue, mais je dois reconnaître qu’elle a des formes juste là où il faut, ce qui rend sa silhouette très harmonieuse. Mais je m’égare… encore.
– Vous voulez que je traduise une autre lettre ?
– Non.
– Alors, quoi ?
– Je veux que vous m’épousiez.
Indecent Contract with the Boss, de Mina Zadig, histoire intégrale.