Un certain soir d’été, quelques mois après mon mariage, j’étais assis aucoin du feu et je fumais une dernière pipe en somnolant sur un roman : j’avaiseu une dure journée de travail. Ma femme venait de remonter, et déjà lesdomestiques avaient verrouillé les portes du vestibule. Au moment où, melevant de mon fauteuil, je secouais les cendres de ma pipe, j’entendis sonner àla porte ; la pendule marquait minuit moins un quart...